Ça mûrit quelques années,
et puis un jour ça sort spontanément à
la table du Navarino, un café grec de Montréal:
«Dès que je rentre en Suisse, je monte une maison
d’édition littéraire.» On est un peu
surpris de ce qu’on vient de dire. Et dans les minutes
qui suivent, on en subit les effets: flash fantasmatique qui
produit mille couvertures d’une indéniable qualité
esthétique – c’est beau sans être chic
–, mille textes d’une indéniable qualité
littéraire – c’est intelligent sans être
prétentieux – et des ventes par milliers –
c’est un succès commercial sans être un commerce.
La critique est unanime, les lecteurs adorent, sans même
parler des libraires et des diffuseurs. Pas même commencé
que le projet est impeccablement fini à l’esprit..›››
à lire, «Navarino éditions, deux livres
et un projet éditorial» paru dans la Revue
suisse de l'imprimerie – tm rsi stm 2/2005 –
(pdf)